Dans le sillage du Roi UBU, pourchassé par Mireile la petite abeille, à la recherche de ce sacré géranium, nous assistons à la transformation….
Un remake d’Alice aux pays des mervelles, façon Tim Burton ?
Que nenni !! nous entrons avec délicatesse dans le paysage de DICK ANNEGARN.
Je rassure les puriste d’autres albums ont égrené sa vie, mais pour moi, c’est celui qui me l’a fait connaitre.
Cet artiste attachant, cette personnalité unique, qui poursuit son bonhomme de chemin hors des sentiers battus, ce poète qui distille l’absurde, comme une seconde nature, et qui nous enchante depuis le début des seventies, à la fois interprète, auteur compositeur, acteur et dramaturge, quelle belle palette de couleurs…………..
A pas feutrés, nous visitons son univers et nous nous laissons prendre au jeu de cet enfant terrible venu des pays bas, qui a passé sa jeunesse à Bruxelles, puis un détour par Paris, pour atterrir dans notre beau sud ouest.
Et moi je suis toujours sous le charme de « la transformation »
Anacruz est un groupe formé en 2004 par Frank Cotty auteur, compositeur et interprète, avec un timbre de voix qui ne passe pas inaperçu, de Lancelot (claviers et arrangements), d’Olivier Toublanc à la basse , Benjamin Muller à la guitare et Teddy Prieur à la batterie.
Enfin un groupe de POP ROCK qui mérite que l’on prenne le temps de l’ écouter !!
La nouvelle scène française vient de s'enrichir d'un nouveau fleuron !! qu'on se le dise.........
Dynamique, sans complexe, voilà une pop rock simple et redoutable d’efficacité , tant tu accroches à la 1ere note.
Leurs influences Muse , Coldplay, the Servant, Maroon 5, Stéréophonics, Orson.
Un 1er opus en 2007 « Hologram » découvert en 2008 lors du Vendée Globe. Et bien ma foi, je vous invite à l'écoute, pop-rock, bien sympa, une jolie voix ce qui ne gâte rien, bien rythmé, Généreux sur scène Perso, pour "Hologram" je craque sur "no need to argue" limite prog. Beaucoup de talent chez ce groupe d'Angers et ses environs.
Tel était mon ressenti à l'époque........
Voila ce qu’en disait la chronique du 30.10.2007 de CLARISSE DE SAINT ANGE DE POP ROCK.COM, site belge
Vous savez, parfois, dans la vie, il y a des choses qui ne s’expliquent pas. Sorties de corps, rencontres du troisième type, rêves prémonitoires ou séances de spiritisme, les histoires les plus folles circulent à propos de phénomènes mystérieux qu’aucune science digne de de nom n’est capable de théoriser et d’expliquer au commun des mortels. Il faut maintenant ajouter le phénomène Anacruz. Pourquoi cette introduction singulière ? Tout simplement parce qu’absolument rien ne laisse paraître la vérité : Anacruz est un groupe français. Et oui. Et pourtant, si vous prêtez une oreille attentive à leur musique, aucune erreur ne permet de le deviner : accent impeccable de la part du chanteur Frank Cotty, production léchée et très anglo-saxonne, notamment dûe à Lancelot (compositeur de la bande originale de Kill Bill 2, plagié en son temps par Malcom MacLaren qui avait par la suite perdu le procès contre le producteur français), et section rythmique très rock... tout est réuni pour s’imaginer à juste titre que les cinq larrons en question sont Canadiens peut-être, ou bien même Britanniques. On reconnaît ici ou là Moist, les Lostprophets ou bien encore les Goo Goo Dolls ; bref, rien ne laisse présager de l’incroyable vérité. Bon admettons, confesserez-vous d’un air dubitatif : mais l’album dans tout ça ? Et bien l’album se déroule selon un schéma impeccable au long de onze titres rondement menés, qui ne souffrent aucune faute de goût. Dès le premier morceau Like an hologram, on a tout de suite la sensation que l’on tient ici un disque au potentiel extrêmement fort. Même constat à l’écoute de l’étonnant Love lie et du radiophonique Going alone... L’album est extraordinairement homogène, s’écoute très facilement et ne succombe pas aux charmes de la redite. On en retient résolument une impression très agréable. Même le final est très soigné, puisque I share the game et sa basse séduisante terminent la dynamique musicale en beauté - et nous permettent d’en attendre encore plus de la part de cette surprenante formation. Le rock est omniprésent sur ce disque. Seules la ballade No need to argue et la pop légère de Nothin’ is to devise sortent du lot. Mais globalement on reste dans des guitares saturées joliment troussées et une pop/rock bien fichue. Il n’y a pas à dire, Anacruz est un groupe qu’il va falloir amplement surveiller. Et s’ils ne sont pas encore signés par une maison de disque, cela ne devrait en tout cas pas trop tarder, étant donné l’énorme potentiel qu’ils pourront développer au fur et à mesure de leur carrière. On ne leur souhaite que du bon de ce point de vue et pour ma part, j’attends avec impatience leurs aventures à l’avenir, voire un deuxième album !
extraits de l'album " Hologram" et de "Listen with care"
2ème opus »listen with care » , scotchée, c’est bon, c’est très bon , c’est rythmé, bien enlevé, dans la veine du 1er, mais en plus affirmé, plus rock, bien ficelé, peut être celui de la reconnaissance ?........ Très perfectionniste, voir sophistiqué mais artistiquement irréprochable.Cet album a une âme qui te balade à travers 11 titres, et une fois de plus tu te laisses prendre au jeu. La voix de Franck t’accompagne tout au long de ce voyage, et tu te laisses imprégner, envahir.
Belle osmose que cet ANACRUZ, qui devrait avoir un avenir plus que prometteur.
Perso, je craque pour « singing on my own » bluezzy à souhait !!
Quelle belle découverte en ce dimanche pluvieux à la manifestation de TOURY US SHOW à Toury !!!
4 Essonniens sur scène autour d’une même passion, la musique et le blues. Un blues rock énergique, électrique aux facettes variées. Des standards revisités de CREEDENCE, en passant par POPA CHUBBY, ZZ TOP et LYNYRD SKYNYRD pour n’en citer que quelques uns.
Une belle présence scénique de XAVIER BLANCHARD, chant et guitare, GILLES LAURO à la guitare entourés de PATRICK LOURDEL à la Basse, et de PRADEEP VICTOR à la batterie.
D’excellents musiciens sur scène qui auraient mérités un auditoire plus nombreux, mais qu’importe le nombre pourvu qu’on ait l’ivresse….
FOR BLUES «le blues qui mord », sympa l’intro de leur page !!
